Amélie est « Amoureuse d’un connard ». C’est cette chanson qui déclenche la rencontre de la jeune femme psychologiquement fragile et son idole de musicien. C’est une histoire d’emprise, de mémoire et de respect où le BDSM n’est qu’un prétexte pour tisser des liens.
La psychologie fragile d’Amélie
« Amoureuse d’un connard » est l’histoire d’Amélie. La jeune femme, blessée, solitaire, peine à se remettre de la perte de sa famille. Instable psychologiquement et fragile, elle rencontre son idole, chanteur et guitariste. Elle s’abandonne dans cette relation avec la rockstar.
Elle a besoin de positif dans sa vie et elle sacrifie tout pour cette liaison. Amélie sombre peu à peu sous l’emprise du musicien, lui-même un peu immature voire instable psychologiquement.
Les jeux BDSM de la rockstar lient la jeune femme au sens propre comme dans la symbolique. Amélie doit souffrir encore avant de s’émanciper de son passé.
Du BDSM, de la mémoire, de la musique, de l’amour : des cordes pour lier tous ces sujets dans « Amoureuse d’un connard »
Comme souvent dans une thématique BDSM, c’est la notion de consentement et de limite qui met des bornes à la relation. Ici, les protagonistes n’en parlent pas. Le jeu glisse, lentement, vers une relation moins saine, sans qu’un seul des amants s’interroge. Le shibari n’est qu’un prétexte pour marquer l’emprise du musicien sur sa groupie. Est-ce encore de l’amour quand on veut posséder complètement l’autre ?
« Amoureuse d’un connard », c’est aussi une histoire de mémoire. C’est la mémoire qui nous joue des tours quand se souvenir est trop douloureux. C’est aussi celle que l’on garde dans sa peau à travers ses cicatrices ou les tatouages avec lesquels on décide d’encrer des événements de sa vie.
Enfin, l’histoire d’Amélie est construite également sur la notion de respect. Celui qui est attendu l’un envers l’autre dans un couple, mais aussi celui que l’on se doit à soi-même. Comment construire des relations saines sans cela ? Au fil des renoncements et des épreuves, la psychologie d’Amélie évolue et son caractère s’affirme.
« Amoureuse d’un connard » : c’est le roman d’une chanson !
Oui, « Amoureuse d’un connard » c’est avant tout l’histoire d’une chanson, un peu osée, qu’une groupie a écrite en pensant à son idole sans s’imaginer qu’il finirait par l’entendre !
Et voilà la fameuse, l’indispensable, l’unique : 4° de couverture 😉
Vivre passionnément pour passer de l’horreur au bonheur.
Amélie est solitaire. Abîmée par la vie, elle ne se consacre plus qu’à sa grande passion : le groupe de métal Clean Massacre. Portée par une obsession fanatique pour son chanteur, Nico, elle lui compose même un morceau, avec son groupe amateur.
La chanson “Amoureuse d’un connard”, combinant déclaration exaltée et proposition indécente, lui permettra de rencontrer sa star.
Entre la jeune femme dévouée à son idole et le musicien maniaque du contrôle, une histoire passionnée se noue alors. Où l’emmènera cette relation qui mélange vibrations, sourires, larmes et peau portant la mémoire d’une histoire difficile ?
Prêt ou prête à découvrir la chanson d’Amoureuse d’un connard ? Suis ce lien et bonne lecture !
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